Category: Actualités du marché chinois

LA CHINE SUR LA ROUTE DE L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Beaucoup a déjà été écrit sur les plans de la Chine pour devenir une puissance mondiale de l’intelligence artificielle (IA) en 2030, et ces deux mots reviennent presque quotidiennement dans les grands médias chinois et les annonces gouvernementales. Parmi les effets d’annonces et autres articles cherchant un buzz médiatique sur un sujet qui fascine et inquiète, il est important de faire la part des choses.

Que contiennent exactement ces plans ? Quel en est le reflet dans la société et l’économie chinoise aujourd’hui ? Quelles opportunités peut-on identifier pour les entreprises françaises ?

Au World Mobile Congress de Barcelone cette année, Huawei présentait un véhicule entièrement piloté par l’IA de son dernier smartphone mis en vente en automne 2017. Un téléphone a ainsi conduit une voiture sur une dizaine de mètres tout en évitant efficacement les obstacles. Outre les réactions mondiales suscitées par cette avancée technologique, il est intéressant d’observer que la Chine est désormais un sujet de discussion incontournable lorsqu’il s’agit de l’intelligence artificielle mondiale : Huawei était la première entreprise apparaissant dans le documentaire d’une chaîne de télévision européenne destiné au salon.

Devenir un centre mondial majeur de l’IA en 2030

Récemment, la Chine a publié plusieurs plans organisant sa transition de « l’atelier du monde » au « laboratoire du monde » : Made in China 2025 (2015), Internet + (2015) et le 13ème Plan Quinquennal (2015) intègrent tous un volet innovation central, dans lequel s’inscrit la stratégie nationale de développement de l’IA rendue publique en Juillet 2017.

L’objectif annoncé est de devenir un centre mondial majeur de l’IA en 2030, avec deux étapes intermédiaires en 2020 et 2025. Outre les objectifs stratégiques et politiques liés à un tel développement, le gouvernement chinois met en avant ses objectifs économiques : une estimation de bénéfices directs sur l’économie chinoise à hauteur de 150M CNY (19,2M EUR) d’ici 2020, et de 1Md CNY (128M EUR) d’ici 2030. A ce titre, le cabinet PwC se montrait plus optimiste annonçant une contribution de l’IA à l’économie mondiale de 16Mds USD (13Mds EUR) d’ici 2030 dont la moitié pour l’économie chinoise.

Concrètement, le gouvernement souhaite encourager les applications de l’IA dans les domaines de la production, de l’urbanisation, de l’agriculture, des énergies renouvelables, de la robotique, des voitures intelligentes, des soins médicaux et de la défense nationale. Cependant, peu de financements précis ont encore été annoncés.

Sans entrer dans la polémique pour savoir qui des Etats-Unis ou de la Chine mène la course, faisons un état des lieux de l’IA en Chine à l’heure actuelle. Qu’existe-t-il ? Quels potentiels de développement pouvons-nous aujourd’hui identifier ?

Soutien politique et financier du gouvernement

Les atouts chinois souvent cités sont : un soutien du gouvernement en matière de législatif (la protection légale des données est quasiment inexistante) et de financements ; de vastes ressources en données grâce à une population nombreuse, diverse et hyperconnectée, mais également des ressources scientifiques (20% des scientifiques en formation en IA dans le monde sont chinois) avec notamment un avantage dans le domaine de la traduction et du langage du fait de la complexité de la langue chinoise.

Des géants actifs

En effet, la Chine possède ses propres données (Baidu, Alibaba et Tencent, alias BAT) et celles-ci sont disponibles en nombre suffisant dans un univers non fragmenté : 800 millions de comptes Wechat, une application qui recouvre des domaines aussi services aussi divers que le paiement, la localisation, la location de taxi, vélos, la commande de nourriture… La moitié des smartphones en Chine sont équipés d’un système de paiement (voir article VVR sur le sujet) et beaucoup d’observateurs notent la friandise de la population à tout âge pour les objets connectés.

Posséder des données est essentiel au développement de l’IA qui n’est rien d’autre qu’un outil sophistiqué permettant de traiter un nombre de données jusqu’ici trop lourd pour nos programmes classiques. Toutefois, il semblerait que l’on soit aujourd’hui capable de simuler des données ce qui réduit considérablement l’avantage compétitif de la Chine en la matière.

La puissance de calcul

La Chine dispose également de la puissance de calcul nécessaire à des avancées majeures en IA : la reconnaissance d’image proposée par Baidu est ainsi aujourd’hui plus précise que celle de Google (de 0.3%). Par ailleurs, la Chine fabrique désormais ses micropuces qui équipent le dernier smartphone de Huawei. La reconnaissance vocale constitue cependant encore un défi pour les grands groupes chinois et concentre aujourd’hui les investissements.

Les investissements

Le capital est l’un des autres points forts de la Chine. Les trois géants numériques chinois : Baidu, Alibaba et Tencent ont tous publiés des plans de développement de l’IA. Ainsi, Baidu investit 3Mds EUR dans la reconnaissance d’images, la réalité augmentée et le deep learning quand Alibaba annonce l’ouverture de 8 centres de recherches dédiés au développement de l’IA et de l’informatique quantique pour un investissement de 15 Mds USD (12,7Mds EUR). Baidu est également impliqué dans le développement d’une voiture autonome, contexte dans lequel le groupe a annoncé sa volonté de mettre ses données en opensource, contrairement à ce qui est pratiqué outre-Pacifique.

Pékin quant à eux ont récemment fait l’annonce d’investissements à venir dans des universités, des incubateurs et des start-ups pour 150 Mds CNY (19,15 Mds EUR) afin de se doter de systèmes d’IA chinois. Au début de l’année 2018, cela s’est encore davantage concrétisé avec l’annonce de la création d’un parc professionnel dédié à l’IA (big data, identification biométrique et deep-learning) dans la capitale, qui réunirait 400 entreprises. Le coût du projet est estimé à 13.8 Mds CNY (1.8Md EUR).

Quid des entreprises étrangères en Chine?

A la lecture de ces faits, il semblerait que la Chine soit surtout un concurrent de plus en plus redoutable dans le secteur de l’IA et des technologies intelligentes. Pourtant, les acteurs français et européens peuvent profiter de ce développement pour : trouver des investissements et/ou s’établir en Chine, trouver des équipes chinoises formées à l’IA, profiter des technologies chinoises en IA et des données si celles-ci sont effectivement mises en open source et jouer un rôle d’intermédiaire entre produits intelligents chinois et marchés européens. A noter : en novembre 2018 se tiendra la China International Import Export Exhibition qui prévoie de réserver un hall entier à la haute technologie et aux équipements intelligents.

En résumé :

Les annonces du gouvernement chinois laissent prévoir une hausse des investissements publics et privés déjà nombreux dans le domaine de l’Intelligence Artificielle. Outre la technologie de l’IA en elle-même, les secteurs privilégiés par la Chine sont ceux de la production, de l’urbanisation, de l’agriculture, des énergies renouvelables, de la robotique, des voitures intelligentes, des soins médicaux et de la défense nationale. La France a affiché sa volonté d’étendre sa coopération dans ce domaine spécifique avec la Chine qui, d’après ses déclarations, ne souhaite pas restreindre ce domaine aux entreprises chinoises exclusivement. A l’heure actuelle, Pékin favorise principalement l’installation des talents en Chine, et les centres de recherches annoncés par les divers acteurs chinois sont encore en construction. Les opportunités pour les acteurs français se situent ainsi principalement dans les besoins que peuvent avoir les entreprises chinoises de ces domaines, ou dans les technologies que celles-ci peuvent développer.

Par Manon Bellon

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OPPORTUNITE POUR LES ELEVEURS FRANCAIS SUITE A LA VISITE DU PRESIDENT MACRON EN CHINE

L’embargo chinois sur le bœuf devrait être levé sous 6 mois

L’année du chien s’annonce en Chine, le Président français Emmanuel Macron offre un cheval à son homologue chinois, et c’est encore un autre signe du zodiaque chinois qui intéresse aujourd’hui les exportateurs français vers la Chine : le bœuf. Lors de sa visite en Chine, Emmanuel Macron a confirmé la levée totale de l’embargo sur la viande bovine française en Chine « dans les six mois ». Le Beijinger rapporte que cette décision a été joyeusement accueillie par le public chinois, que ce soit les entreprises de F&B ou les amoureux de la viande chinois.

Origine (et fin?) de l’embargo

En 2001, alors que la crise de la vache folle se propage en Europe, la Chine décide de fermer ses frontières à toutes les importations de bœuf européennes, puis américaines. Cette mesure a connu un assouplissement très partiel en mars 2017 pour les viandes bovines françaises : seules les viandes provenant de bovins âgés de moins de 30ans et désossées pouvaient être importées. Finalement, louant le succès diplomatique de cette décision et assurant qu’elle n’aurait pas d’impact négatif sur l’environnement, le Président Macron a annoncé la levée totale de l’embargo lors de sa visite au début de l’année 2018, dans un discours ponctué de quelques phrases de cantonnais remarquées des médias chinois.

Un marché en expansion

Cette décision arrive à point. De nombreuses études montrent l’évolution des habitudes de consommation des 1.4 milliards de Chinois, notamment en ce qui concerne la consommation de viande. Il en résulte un marché en plein boom (multiplié par 10 entre 2010 et 2015) alors que le marché du bœuf français connait justement une décroissance de 5% par an. Si le porc représente toujours 60% de la viande consommée en Chine, le bœuf gagne de la place dans les assiettes de la classe moyenne : en 2016, un Chinois consommait 4kg de bœuf pour moins de 3kg en 2005 selon l’OCDE. A titre de comparaison, la consommation française de bœuf est quatre fois plus élevée.

La viande constitue ainsi un marché d’autant plus alléchant pour les exportateurs que les prix y ont été multipliés par quatre en 15ans (3.5euros le kilo aujourd’hui). De plus en plus soucieux de la qualité des produits, la classe moyenne chinoise grandissante se tourne majoritairement vers des produits importés, bien qu’ils soient plus coûteux, selon une note de la banque néerlandaise Rabobank.

Ouverture de l’agro-alimentaire chinois aux importations

Or, si le marché agronome chinois pouvait être relativement difficile d’accès auparavant, ce n’est plus le cas depuis le 13ème plan quinquennal (2016-2020) dans lequel le gouvernement officialise le recours aux marchés mondiaux pour assurer la sécurité alimentaire. La Chine est aujourd’hui un pays importateur net en produits agro-alimentaires avec une balance déficitaire d’environ 34 milliards d’euros en 2015 selon les douanes chinoises. Or, ces importations concernent en grande partie les produits carnés (20% soit 1.7millions de tonnes) en raison de l’attrait que constitue la qualité venue des pays occidentaux dans le domaine des viandes. Ainsi, l’agro-alimentaire en général constitue le troisième domaine des exportations françaises en Chine, mais la viande ne compte que pour 9% du montant total des exportations. La Chine étant en passe de devenir le premier importateur mondial de bœuf, avant les Etats-Unis, la levée de l’embargo sur le bœuf français devrait faire évoluer ces chiffres à la hausse.

Une compétition locale et étrangère sévère

La levée de l’embargo français fait suite à celle de l’embargo sur le bœuf américain en juin dernier. Au niveau européen, la France est le troisième pays dont l’embargo a été levé, après l’Irlande et les Pays-Bas. Cette décision avait en fait été prise entre les autorités françaises et chinoises le 3 mars 2017 mais le dossier restait bloqué par les différentes requêtes sanitaires chinoises.

Elle est vue comme une réelle opportunité pour les 150 000 éleveurs français dans ce secteur qui pèse près de 6,­6 milliards d’euros. Pour autant, ce n’est pas un marché donné. En effet, monopolisant 90% du marché chinois, les principaux concurrents sont les bœufs australiens, brésiliens, uruguayens et néo-zélandais. Quant au cheptel bovin de la Chine, il représente tout de même 10% du troupeau mondial et reste cinq fois plus important que la France.

Mais des atouts français uniques

Dans un premier temps, les éleveurs français envisagent des exportations d’un total de 50 000 tonnes de bœuf, ce qui représenterait presqu’un cinquième des exportations françaises de bœuf. Les éleveurs français entendent en effet se positionner sur le haut de gamme, mais aussi profiter du marché chinois pour écouler des morceaux non utilisés en France comme la queue de bœuf. Pendant les six mois estimés pour la mise en place effective de la levée de l’embargo, la France pourra préparer le terrain en promouvant la qualité française (traçabilité sanitaire), les races bovines françaises et l’art de vivre à la française d’une pièce de bœuf dûment accompagnée.

Quant à la volaille française, également sous le coup d’un embargo chinois imposé en 2015 à cause de la crise de la grippe aviaire, les discussions sont toujours en cours.

Par Manon Bellon

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VOEUX 2018 DE CAMILLE VERCHERY, CEO DE VVR INTERNATIONAL

Chers lecteurs,

2017 fut une année forte pour VVR, ses clients et partenaires.
Nous avons clôturé des projets ambitieux de levée de fonds auprès d’investisseurs chinois pour le compte de nos clients français, nous avons réussi à introduire de belles sociétés dans le E-commerce chinois sans renoncer à nos activités traditionnelles.

Les efforts de toute l’équipe VVR ont permis de développer plus de 40 M d’euros de ventes additionnelles en Chine par nos clients. L’intégration de notre confrère SAVVIM est une réussite avec Victor Yim qui fait partie intégrante de l’équipe VVR. L’arrivée de Philippe KHUN pour développer nos services en Chine est un atout de plus.

Je voudrais adresser un grand merci à vous tous, partenaires et clients, que nous apprécions tant accompagner et sans qui nous n’aurions pas cette envie permanente de conquêtes ! Nous venons de dépasser le nombre de 700 projets conduits en Chine par VVR depuis nos début en 1999.

L’année 2018 s’annonce flamboyante. VVR vient de remporter l’appel d’offre de la Région Nouvelle Aquitaine pour l’accompagnement des entreprises en Chine. D’autres bonnes nouvelles sont à venir ! Mais chut ! Je ne vous en dis pas plus ! Retrouvons nous plutôt autour d’un verre pour fêter cette nouvelle année pleine de promesses et parler de l’avenir, de la Chine et de vos axes de développement pour mieux appréhender vos marchés.

Bonne année de la part de toute l‘équipe VVR!

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VVR INTERNATIONAL A L’ICD

La Chine, destination favorite des exportateurs potentiels

Créé en 2009 et organisé par la Chambre de Commerce et d’Industrie Nantes Saint-Nazaire, l’International Connecting Day (ICD) s’est tenu le jeudi 5 octobre 2017 au centre des Salorges, à Nantes. L’occasion de réunir toutes les entreprises légiriennes et du reste de la France qui souhaitent se développer à l’international. Mais également de recueillir des conseils auprès d’experts de l’export, tels que VVR International, présent pour la 4ème fois à ce rendez-vous annuel.

La journée compte de nombreuses activités : ateliers collaboratifs, rendez-vous experts pays ou thématiques, cafés pays, rencontres filières, remise de trophées et tables rondes d’une heure animées par des chefs d’entreprise à l’international. Pour cette 9ème édition, cinq grandes régions et pays étaient présents (Amérique du Nord, Brésil, Maghreb, Iran et Scandinavie). Chaque entreprise a pu prendre des rendez-vous personnalisés auprès d’une quarantaine d’experts.

Cette année, la société VVR International – en partenariat avec l’entreprise française d’achat Euklead – et plus particulièrement son département processus achat, supply chain et qualité dans les pays émergents, représentée par son PDG Camille Verchery et son directeur Business Unit en Chine, Victor Kim, est intervenue en qualité d’exposante/experte au cours d’une conférence axée sur le process général de développement des achats, les cas pratiques, l’anticipation/la prévention des risques et les solutions dans les pays émergents, notamment la Chine.

Préférence pour les produits chinois à valeur ajoutée

« L’ICD est un rendez-vous intéressant. La région nantaise est importante pour nous. Nous y avons beaucoup de clients », explique Camille Verchery. « Durant cette journée, une dizaine de sociétés françaises sont venues nous voir. Aucune ne connaissait VVR International auparavant », précise-t-il. Un bilan identique aux participations précédentes. Et toujours ce même constat : la Chine suscite toujours autant d’intérêt. Avec toutefois un petit changement : «La Chine a développé sa propre technologie. Les sociétés françaises préfèrent désormais les produits à forte valeur ajoutée et non plus les produits low cost».

Il reste à savoir si cette préférence des entreprises françaises se confirme au cours du prochain rendez-vous international professionnel auquel VVR International doit participer, à savoir Classe Export qui se déroulera les 7 et 8 décembre 2017 à l’Hotel Mariott de Lyon. VVR International interviendra sur le développement commercial, le e-commerce et le montage d’équipes en Chine.

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ENGAGEMENT DE VVR INTERNATIONAL

Le mot du Directeur Général

Renouvellement de I’ engagement de VVR International envers le Pacte Mondial.

Notre société VVR International a intégré le Global Compact en 2013 et s’est ainsi engagée à respecter les 10 principes fondateurs du Pacte Mondial des Nations Unies concernant les Droits de l’Homme, les droits du travail, la protection de l’environnement et la lutte contre la corruption. Nous n’avons de cesse d’intégrer et de faire progresser, au quotidien, ces valeurs dans notre stratégie, notre culture commerciale et nos méthodes de travail.

Au cours de cette année, VVR International s”est encore démarqué par son engagement dans ses actions concernant sa responsabilité sociétale en tant qu’entreprise et donc sa contribution à l’amélioration des équilibres environnementaux, sociaux et sociétaux. Notre taille modeste limite nos actions à un impact limité sur les quatre thèmes fondamentaux du Pacte Mondial, mais nous sommes persuadés que la multiplication de gestes quotidiens, même petits, contribue grandement à l’intérêt général.

En tant que Directeur Général, je renouvèle par la présente mon soutien au Pacte Mondial et ma volonté de continuer à proposer et à encourager toutes initiatives permettant d’optimiser les conditions de travail de mes collaborateurs, de diminuer notre empreinte écologique, d’assurer les Droits de l’Homme pour tous et de lutter contre toutes formes de corruption.

Camille Verchery, Directeur Général de VVR International

Téléchargez l’engagement VVR pour le Global Compact

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VVR VIENT A VOTRE RENCONTRE

En cette fin de premier semestre, les rendez-vous sur lesquels vous pourrez venir rencontrer les membres de l’équipe VVR International n’ont pas manqués… et ne manqueront pas !

Fin mars 2017, VVR International était présent au Road show de l’international à Aix, une journée de travail dynamique, organisée par Classe Export, où conférences, networking, colloques et échanges conviviaux se succédaient.

A cette occasion, Chloé Berndt a animé une conférence sur le thème « Développer le marché chinois : Quels sont les pièges à éviter, comment percer sur ce marché. Cas pratiques et recommandations ». Plus d’infos

Le 9 juin 2017, à Nice, l’équipe VVR sera également présente sur l’édition Niçoise du Road show de l’international. Plus d’infos

Enfin, les 13 et 14 juin 2017, nous serons présents sur le Salon des entrepreneurs de Lyon. Ce salon est le plus grand rassemblement d’entrepreneurs en Auvergne-Rhône-Alpes !

Une occasion unique pour développer son réseau et partager l’expérience de grands entrepreneurs. 2 jours pour capter les nouvelles tendances, bénéficier de conseils d’experts, trouver des financements et entreprendre en mode start up.

VVR International apportera son expertise et saura conseiller les entreprises à l’occasion de la conférence : « Se développer avec succès à l’international : accompagnement et financement. » Au programme de cette conférence : « Vos clés de la réussite : des moyens financiers et un réseau d’experts internationaux. Venez découvrir les réseaux indispensables pour accélérer votre développement à l’international et apprenez à mieux connaitre et optimiser les outils de financement de vos actions à l’export. » Plus d’infos

A chaucune de ces occasions, VVR International saura vous renseigner sur tout ce qui a trait à votre développement industriel et commercial en Chine :

  • définition de stratégie marketing et commerciale, en retail, en e-commerce…
  • recherche de partenaires…
  • problématiques RH
  • problématiques réglementaires…
  • recherches de partenaires industriels…

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